Sur la page (ce théâtre) les aventures d'une fille. Elles se prénomment, nombreuses, de page en page un peuple de peu éperdu. Ce qui lui arrive, « Je le dis ». Ces textes sont écrits avec des notes de lecture, dans une sorte de paralangue (d'à côté). Je les appelle des flocs : des tentatives d'amalgames. Les énoncés sont appareillés pour explorer à tâtons une région dans laquelle le point de vue se déplace. Si d'aventure l'ample discours tombe en pluie. « Ouvre, je vais te dire merveilles ! » Mais qui parle ?